Le 3 avril dernier, Joanie Heppell, la présidente de l’Ordre professionnel des sexologues du Québec (OPSQ), a diffusé un message portant sur la pandémie du nouveau coronavirus et ses répercussions sur la profession de sexologue.
Comme Heppell l’a signalé, bon nombre de sexologues voient leur revenu chuter en raison des mesures gouvernementales visant à éviter la propagation de la COVID-19. « Sachez que nous faisons différentes représentations auprès d’acteurs ministériels afin de voir comment les sexologues peuvent s’impliquer en termes de main-d’œuvre », a-t-elle assuré. Par exemple, des sexologues pourraient éventuellement offrir des interventions de soutien psychosocial pour prêter main-forte au personnel de la santé de première ligne et venir en aide au public. L’OPSQ a fait parvenir lundi un sondage sur le sujet à ses membres.
Malgré la situation actuelle difficile, la présidente de l’OPSQ a tenu à terminer son message sur une note positive : « Pas à pas, nous continuerons de réfléchir aux implications de ce qui est en train de nous arriver et nous persisterons, à travers une multitude d’inquiétudes, à nous développer personnellement et professionnellement. »
Pour lire le message au complet : https://opsq.org/wp-content/uploads/2020/04/Message-de-la-pr%C3%A9sidente_03-04-2020.pdf.
Référence
Non applicable
Source
https://opsq.org/wp-content/uploads/2020/04/Message-de-la-pr%C3%A9sidente_03-04-2020.pdf
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