Une étude parue dans le Journal of Sexual Medicine révèle qu'une forte consommation de pornographie n’est pas nécessairement synonyme de trouble psychologique. 

Une enquête menée auprès de 15 000 personnes, âgées de 18 à 76 ans, démontre que :

• « de 68 à 73 % consommaient peu de pornographie et de façon non problématique;
• de 19 à 29 % étaient des utilisateurs fréquents mais sans problèmes particuliers;
• de 3 à 8 % étaient des utilisateurs fréquents de pornographie et éprouvaient des problèmes. »

Selon les résultats, ce ne serait pas la fréquence de consommation de pornographie qui créerait des problèmes, mais plutôt une combinaison de « différentes caractéristiques de la personnalité individuelle et les contextes sociaux et sociétaux ».

Référence
https://nouvelles.umontreal.ca/article/2020/05/13/regarder-frequemment-de-la-pornographie-n-est-pas-forcement-lie-a-un-trouble-psychologique/ 

Source
https://www.jsm.jsexmed.org/article/S1743-6095(20)30032-1/pdf