Le Times of India rapporte qu’en raison de la pandémie, certaines personnes œuvrant dans l’industrie du sexe prennent la décision de transférer leurs activités en ligne, via des applications de visioconférence. Le paiement se fait par des plateformes de transferts monétaires, souvent préalablement à la session pour s’assurer du paiement. Pour plusieurs, il s’agit d’une question de survie puisque la clientèle en face à face se fait rare, inquiète face aux contacts physiques. Malgré tout, seule une faible part des travailleurs et des travailleuses du sexe utilisent cette voie alternative. Les autres, moins à l’aise avec la technologie, vivent durement les impacts de la COVID-19 sur l’industrie.
Toutefois, le coordonnateur de la clinique Services for Healthy Use of Technology met la clientèle en garde contre les effets addictifs que la désinhibition procurée par l’aspect virtuel pourrait avoir.
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