À la suite des allégations d’inconduites sexuelles du fondateur démissionnaire de Juripop, le comité transpartisan sur l’accompagnement des victimes d’agressions sexuelles et de violence conjugale réitère sa confiance envers l’organisme.
Le comité transpartisan formé de la ministre responsable de la Condition féminine, Isabelle Charest ainsi que des élues Isabelle Melançon, Christine Labrie et Véronique Hivon, fait savoir à La Presse que « cette triste histoire ne doit surtout pas nous faire oublier la qualité et le caractère essentiel des services fournis par Juripop aux victimes d’actes criminels ».
De son côté, Juripop affirme réviser ses pratiques « pour faciliter le traitement d’un dévoilement et pour y centrer les besoins de la personne victime ou de la survivant.e ».
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