La Presse rapporte qu’entre 4000 et 6000 personnes se sont rassemblées à Paris pour une « marche pour la vie » anti-avortement, un évènement quasi annuel depuis 2005. En raison de la pandémie, environ 10 000 personnes supplémentaires y auraient pris part virtuellement via une mobilisation sur internet.
La porte-parole Aliette Espieux avance que la majorité des interruptions de grossesse sont choisies en raison d’un sentiment de détresse. Selon elle, « le message est de rappeler que l’avortement est avant tout une violence faite aux femmes » plutôt qu’un droit.
Les protestations visaient deux textes de loi accordant le droit universel à la procréation médicalement assistée, ainsi qu’un projet de loi visant à permettre l’interruption de grossesse jusqu’à la 14e semaine plutôt qu’à la 12e comme c’est le cas présentement.
Commentaires