Selon La Presse, un collectif de jeunes élèves québécois.e.s, nommé La voix des jeunes compte, demande aux partis politiques de s’attaquer davantage à la problématique des violences sexuelles dans les écoles primaires et secondaires. Comme c’est le cas dans les institutions d’enseignement supérieur, le groupe souhaite l’adoption d’une nouvelle loi visant à prévenir et combattre les violences à caractère sexuel. Pour l’une des membres du collectif, Samuela, « [...] tou[.te]s les jeunes devraient étudier dans un environnement sain et sécuritaire ».
Le ministre de l’Éducation Jean-François Roberge a récemment mis en place le rôle de Protecteur de l’élève, responsable de s’assurer du respect des dispositions de traitement des plaintes, dans l’objectif de rendre le processus « plus rapide, plus efficace et plus indépendant ». Malgré cette nouvelle mesure, il semble que cela ne réponde pas aux besoins des jeunes. Pour Mégane, une autre membre du collectif, cette mesure devrait inclure davantage de ressources d’aide (prévention, sensibilisation, accompagnement, etc.), « permettant guérison et réparation auprès des victimes ».
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