Une seule des quatorze plaintes contre Gilbert Rozon a été retenue. Il devra faire face à des accusations d’attentat à la pudeur et de viol pour des gestes qui auraient été commis le 21 septembre 1979 à Saint-Sauveur.
Rozon est encore visé par l’action collective des Courageuses qui regroupent une vingtaine de personnes lui réclamant 10 millions de dollars en dommages punitifs.
Véronique Hivon, porte-parole du Parti Québécois en matière de justice et juriste de formation, a déclaré : « Je comprends bien les principes fondamentaux de justice que sont la présomption d’innocence, le fardeau de la preuve et les règles d’admissibilité de la preuve, mais je suis aussi convaincue que les principes fondamentaux ne peuvent pas faire en sorte qu’il n’y ait pas de justice pour certaines catégories d’infractions criminelles, qu’il n’y ait pas de justice pour certains types de victimes ».
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