Deux études nationales révèlent que les refuges canadiens pour femmes sont sous-financés. Ainsi, selon La Presse, c’est un refuge sur cinq qui déclare ne pas avoir eu d’augmentation de financement dans les dix dernières années. Ce qui veut donc dire que les refuges doivent réussir à faire le même travail avec moins d’argent. À travers le Canada, les refuges disent manquer de lits et d’espace. Dans les faits, 40 % des refuges déclarent être « presque tout le temps pleins ».
De plus, un financement pour répondre à des besoins bien précis devient criant, c’est-à-dire plus de fonds pour les refuges dans les réserves qui desservent les femmes autochtones et leurs enfants, mais aussi des fonds pour développer des ressources spécifiques pour les personnes non-binaires et trans, les femmes autochtones, les femmes avec un parcours migratoire et celles avec handicap.
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