En janvier dernier, une clinique pour les jeunes trans dans la rue a ouvert ses portes à Montréal. L’initiatrice derrière le projet, la Dre Anne-Sophie Thommeret-Carrière, rapporte au Devoir : « Il y a des personnes trans qui décèdent par suicide sur les listes d’attente pour obtenir l’hormonothérapie. Ce n’est pas une maladie, être trans, c’est la dysphorie qui crée la souffrance, et c’est ça qu’il faut traiter rapidement ! »

Selon une étude publiée par l’American Academy of Pediatrics, plus de la moitié des jeunes hommes trans de 11 à 19 ans et 30 % des jeunes femmes trans , de même que 42 % des jeunes non binaires auraient tenté de mettre fin à leurs jours.

Référence
https://www.ledevoir.com/societe/554219/les-jeunes-trans-surrepresentes-chez-les-itinerants 

Source
Non applicable