Une étude effectuée par une organisation caritative appelée le SARC Tokyo (Sexual Assault Relief Centre Tokyo ou le Centre d'aide aux victimes d'agressions sexuelles de Tokyo) révèle que plus d'un quart des agressions sexuelles commises sur des mineur.e.s sont perpétrées par des proches des victimes. 

L'étude conclut que des 197 cas d'agression sexuelle sur des jeunes âgé.e.s de 19 ans et moins étudié.e.s durant l'année fiscale 2018, 180 étaient des filles ou des femmes et 17 étaient des garçons ou des hommes. L'étude ne consacre aucune autre catégorie de survivant.e.s. Les appels ont été effectués à 41 % par les survivant.e.s et 31 % par la mère des survivant.e.s. Les autres appels ont été effectués par un.e proche, dont des ami.e.s ou des employé.e.s de l'école du ou de la jeune. 

Les incidences d'agression sont majoritairement arrivées au domicile de la ou du survivant.e ou de l'attaquant.e et incluent des viols à 60 % et un grand nombre d'appels mentionnent des photos prises par l'attaquant.e. Des membres de la famille ou des proches de la famille sont mentionnés dans 26 % des cas, et 25 des incidences sont perpétrées par le père des survivant.e.s.

Cette étude est la première effectuée par le SARC depuis sa fondation en juin 2012. 

L'organisation caritative coopère avec le gouvernement métropolitain de Tokyo pour soutenir les survivant.e.s lorsque nécessaire, incluant l'accompagnement aux stations de police pour ceux et celles qui désirent prendre action contre les attaquant.e.s. L'anonymat est de mise pour ceux et celles qui le désirent aussi. 

Référence
http://www.asahi.com/sp/ajw/articles/AJ201909020019.html 

Source
https://sarc-tokyo.org/