Objectifs
- Capacité de remettre en question les paradigmes hétéronormatifs existants et de situer la diversité de genre.
- Démontrer une compréhension du genre et de la sexualité sur un continuum plutôt que binaire.
- Identifier l’impact du stress minoritaire sur le développement, la santé mentale et autres déterminants de la santé chez les personnes transgenres, non-binaires et créatives dans le genre.
- Identifier les accommodements et les adaptations personnels et institutionnels possibles pour accueillir les personnes transgenres, non-binaires et créatives dans le genre.
Formatrice et Conférenciers.ères
Françoise Susset, D. Ps.
Devon Simpson, travailleur social, Clinique médicale 1851
Marie de la Chenelière, intervenante de première ligne, Maison dispersée de santé, Lille, France
Dr Charles-Olivier Basile, médecin de famille, Clinique médicale 1851
Daphney Prophète, infirmière conseillère, Complexe chirurgical GRS Montréal
Henri Labelle, travailleur social, Complexe chirurgical GRS MontréalLangue
✎ FrançaisOrganisation
Institut pour la santé des minorités sexuelles (ISMS)Lieu
En ligneCoût
Tarif préférentiel (jusqu’au 12 mars) : $490
Tarif régulier (après le 12 mars) : $520Plus d'informations
Cliquez ici pour la page web de l'évènement
Description originale
La recherche confirme les impacts du stress minoritaire sur la santé mentale et le bien-être des personnes transgenres, non-binaires et créatives dans le genre, fréquemment victimes de comportements discriminatoires et de violence, qu’il s’agisse d’enfants, de jeunes ou d’adultes. Certaines études indiquent l’urgence d’agir lorsqu’un individu décide d’entamer une transition. Le manque de ressources dans le réseau de la santé et des services sociaux contribue de manière importante à l’état de crise associée à la dysphorie de genre, mais aussi au manque d’accès aux soins de santé de base pour ces populations.