px
text
Radio-Canada rapporte les résultats d’une étude portant sur une mutation du gène contenant la protéine CCR5, connue pour immuniser contre le VIH. Apparemment, les personnes dont l’expression de cette protéine serait inactive auraient une espérance de vie moins élevée, bien que la raison l’expliquant soit inconnue. Une piste impliquerait que les personnes porteuses de la mutation seraient plus à risque de contracter certaines maladies telles que la grippe. Il ne serait pas pour autant nécessaire de cesser les recherches sur la CCR5 dans l’optique de traiter le VIH, mais il faudrait garder en tête que certaines conséquences peuvent être difficiles à prévoir.
Commentaires