Une équipe de recherche américaine ayant fait des tests sur des lapins et des souris aurait découvert qu’en injectant le VPH dans leur sang, ceux-ci en développeraient l’infection, notamment dans les muqueuses et l’estomac. Il ne serait pas certain que la même chose puisse se produire chez l’humain puisque les souches diffèrent de celles présentes chez les animaux, mais la modélisation animale permettrait néanmoins d’aiguiller les scientifiques.

Puisque, selon l’OMS, les infections au VPH toucheraient près de 80 % des femmes à un moment ou l’autre de leur vie et que de nombreuses personnes seraient porteuses sans symptômes, il serait important de savoir si ce virus pourrait être transmis lors d’une transfusion sanguine.

Référence
https://journalmetro.com/plus/2376608/les-papillomavirus-humains-transmissibles-par-le-sang/

Source
Non applicable.