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La nouvelle plateforme cestpasviolent.com démystifie certaines formes plus subtiles de violence conjugale à l’aide d’une simulation d’échange de textos. À la fin de la conversation, il faut décider si la conversation était violente ou non.
SOS violence conjugale, à l’origine de la campagne, souhaite sensibiliser les jeunes de 15-25 ans aux premiers signes de violence psychologique.
La campagne, lancée lundi dernier, contient cinq volets : le consentement sexuel, le harcèlement psychologique, la géolocalisation à l’insu du partenaire, la manipulation et la violence du suicide ainsi que l’exploitation sexuelle.
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